Ouf ! C’est fait. Comme disait l’autre « mais qu’allait-elle donc faire dans cette galère ! » Car les jours pros comme les journées portes ouvertes sont une jungle où il faut s’armer de calme et de renoncement.
Mes seules expériences de foire remontent à plus de trente ans quand nous rendions visite à mon père sur son stand au salon de l’agriculture. La Buchmesse, c’est autre chose. Assurément. Six fois plus gros que le salon de l’agriculture (pour ceux qui connaissent, faut donner des repères, c’est important…), le rapport est démesuré (note pour plus tard : comparer les budgets de l’agriculture et de la culture…). Tandis que les auteurs bankable enchaînent les entretiens, tables rondes, conférences, happening et autre signature de manifeste, les éditeurs cantonnés dans une autre halle (ni trop loin ni trop près…) enchaînent les rendez-vous avec les agents littéraires venus des quatre coins du monde. En errant dans les allées, on glanera des bouts de discussion qui feraient bondir ces fameux auteurs qui perdent leur voix/e à l’autre bout des halles 1, 3 et 4. Continuer à lire … « #FBM 17 – le retour »